« Il parait que les personnes âgées se mettent à rapetisser et se tasser avec le temps. Je ne pensais pas que cela vous arriverait si vite. » par Ally Brynhild dans À force, cette baraque va finir par s'effondrer
La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran]
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Jeliza Rose Blackwood
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Charlotte
Sujet: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Lun 22 Juil - 19:38
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Depuis peu, et grâce à l’aide de mon cher Big Daddy, j’avais ouvert un magasin de vêtements. L’idée venait de moi, bien évidemment. Storybrooke avait vraiment besoin d’un bon coup jeune. Cette ville était vraiment triste à mourir et il était tant que quelqu’un fasse quelque chose. Et bien sur, ce quelqu’un n’aurait pu être nulle autre que moi ! Jeliza Rose Blackwood, futur styliste et futur maire de la ville ! Etant donné que pour l’instant je n’avais aucune nouvelle à propos de mon book que j’avais envoyé, il fallait bien que je m’occupe parce que si je devais surveiller la boite aux lettres chaque jour, j’allais devenir complètement folle. Du coup, ouvrir une boutique m’avait semblé être une excellente idée. Big Daddy m’avait donné quartier libre, ce qui m’arrangeait considérablement parce que j’avais ma propre vision des choses et à aucun moment je n’aurais souhaité avoir en face de moi quelqu’un qui décide à ma place de ce qu’il fallait faire et de quelle façon le faire.
Le travail le plus dur avait été de trouvé LE local parfait. C’était ce qui s’était avéré le plus compliqué en fait parce que j’avais mis un moment avant de trouvé celui qu’il me fallait. J’avais du faire appel à M. Gold pour ça et le prix n’avait vraiment pas été un problème. Big Daddy avait de l’argent à revendre donc il n’y avait même pas eu besoin de négocier le prix. Ca avait été banco tout de suite quand il m’avait proposé le local de mes rêves. Et honnêtement, je n’aurais pas pu rêver de mieux. Après ça, j’avais tout supervisé, la peinture, la décoration, les rayons, les cabines d’essayage et l’arrière boutique. Le résultat final était vraiment plus que parfait. J’étais réellement fière de moi et Big Daddy attendait que je m’implique réellement à fond dans ce projet. Oh pour ça, il pouvait me faire confiance car cette boutique, même si ce n’était pas mon but premier dans la vie, et bien c’était mon bébé et je ne laisserai jamais rien lui arriver.
Depuis que le magasin avait ouvert, je n’avais pas une seule seconde à moi et donc pas le temps de se tourner les pouces. Chaque jour, c’était avec la tête haute que je m’y rendais. Mais je devais bien avouer que le soir, je dormais plus que bien. C’était fatiguant, contrairement à ce qu’on pouvait croire d’être toute la journée à courir partout dans un magasin. Il fallait faire attention à tout et ne rien laisser au hasard. Heureusement que j’avais aussi des vidéos surveillances si jamais il prenait l’envie à quelqu’un de venir voler quelque chose. Surtout les deux sœurs Heelsman. Ces deux filles-là, même si j’appréciais grandement leur sens des valeurs et de la mode, je me méfiais d’elles car elles étaient jalouses de la richesse dans laquelle je baignais. Personne n’était aussi riche que mon père dans cette ville alors c’était bien normal qu’on m’envie, n’est-ce pas ? Personnellement, je m’envierai si je n’étais pas à ma place.
Ce matin, je me levais plus tôt que d’habitude car je recevais un nouvel arrivage de vêtements et il fallait absolument que je sois à la boutique avant le livreur afin de pouvoir faire l’inventaire de ce qu’on me livrait. J’avais plus que hâte de voir ce qu’on m’apportait. Tout ce que j’espérais, c’était que ce ne serait pas des vêtements horribles parce que c’était compliqué de les mettre à leur avantage quand on savait d’avance que ça ne plairait à personne. Après avoir longuement crié sur Claire, notre idiote de servante incapable, qui avait oublié de mettre du sucre dans mon thé avant de me le service, je quittais la villa avec hâte car je n’étais pas en avance et si je n’étais pas sur place, j’allais me retrouver avec les cartons juste devant la boutique et après débrouilles-toi pour tout rentrer. Non ! Les livreurs étaient aussi, censés, tout déposer à l’arrière boutique, donc il était hors de question que je fasse leur boulot en plus.
Storybrooke commençait doucement à prendre de l’activité et je croisais divers personnes que je saluais rapidement sur mon passage. J’étais entrain de leur faire de la concurrence avec mon magasin, surtout ceux de vêtements. En même temps, ce que je proposais était cent fois mieux que ce qu’ils pouvaient proposer donc je n’avais pas trop de mal à me faire de la clientèle. Et puis, grâce à ça, j’avais aussi appris que certaines personnes avaient plus de gout que ce que je n’aurais cru à la base. J’apportais une pointe de mode dans cette ville qui en avait grandement besoin. Voulant faire au plus court pour me rendre à la boutique (parce que je n’étais pas vraiment en avance), je pris le chemin qui passait devant le zoo et honnêtement, je n’aurais jamais dû passer par-là. Jamais de chez jamais ! Car je me reçus en plein sur la tête quelque chose qui me fit crier de surprise. Ma surprise avait été telle que je m’étais figée sur place.
Je secouais la tête pour essayer de me débarrasser de ce qui avait atterri sur mes longs et magnifiques cheveux blonds et quand la chose tomba, je remarquais qu’il s’agissait d’une peau de banane. UNE PEAU DE BANANE ?! Comment est-ce qu’une peau de banane avait pu atterrir sur ma tête ?! Je levais les yeux vers l’endroit où je supposais qu’elle était tombée et eus un magnifique sursaut en voyant un gorille penché par la fenêtre. Qu’est-ce que... ?! Pourquoi est-ce que ce gorille n’était pas dans une cage avec les autres ?! Non mais… mais… mais…
- Maudit véto ! Il va m’entendre celui-là !
L’arrivage de vêtements pouvait bien attendre encore un peu. Je me dirigeais vers la porte d’entrée de chez ce vétérinaire, qui était en même temps le propriétaire du zoo. Non mais on n’avait pas idée d’avoir un gorille comme animal de compagnie… Est-ce qu’au moins il avait une licence pour ça ? Si ce n’était pas le cas, j’allais me faire un plaisir de le lui rappeler. Et surtout lui faire signaler qu’il devait surveiller ses bêtes. J’étais sure et certaine que ce type n’était qu’un irresponsable de première catégorie. Et dire qu’on lui confiait nos animaux… Une fois devant la porte, je frappais de toutes mes forces dedans afin qu’il sache à l’avance dans quel état d’esprit se trouvait son visiteur. Et si c’était son gorille qui ouvrait la porte ? Oh quelle horreur ! Je pourrais lui faire un procès pour ça ! J’étais sure et certaine d’en sortir vainqueur. On n’avait pas idée d’avoir un animal sauvage en guise de chien de garde ou je ne sais quoi !
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Dim 28 Juil - 21:29
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Comme tous les matins, Bran voyait le soleil se lever une vu que beaucoup trouvent splendide, pour lui ça ne servait que de repère pour savoir s'il était en avance ou en retard dans sa matinée de boulot, gérant le zoo et le cabinet vétérinaire, le jeune homme avait du boulot à revendre, mais s'occuper d'animaux était une passion... Il ne vivait que pour leur bien-être, même si ces journées étaient souvent semblables donner la nourriture aux animaux du zoo, s'occuper de ses rendez-vous au cabinet et revenir au zoo pour vérifier que tout le monde va bien, l'après-midi s'occupant le plus souvent des opérations programmées et pour finir il retournait chez lui, heureusement qu'il avait des employées où il passerait vraiment sa vie à courir entre ses deux lieux de travail.
Étant un homme plutôt solitaire, il aimait être seule pour commencer sa journée, écouter simplement le bruit des animaux qui l'entourent, sentir la rosée du matin, il lui arrivait même de se stopper pour fermer les yeux, se laissant emporter, loin de la colère qui ne quitte très rarement son coeur, garder le self-contrôle est plus difficile qu'on pourrait croire, mais il avait trouvé le moyen un entraînement intensif qu'il exécutait chaque soir... Combien de fois rêve-t-il de rembarrer les propriétaires d'animaux au cabinet ? Oui chaque soir il doit évacuer toutes ses rages, certes des fois il ne peut se contenir surtout quand il remarque que l'animal a été maltraité, pour le coup il lui arrive souvent de récupérer l'animal, le confiant soit au refuge ou lui trouvant une place au zoo.
Alors qu'il avançait avec une brouette remplie de banane, il croisa quelques singes qui se trimballaient dans les allées et très vite sa brouette se retrouva vide, ce qui pour le coup le fit sourire, cela n'arrivait pas très souvent et surtout pas pour tout le monde. Pour lui, l'espèce la plus dangereuse de la terre, restaient les hommes, eux qui pensent qui sont seuls au monde, détruisant les habitats naturels d'animaux qui vivaient là bien avant eux, bien sûr il savait très bien que tout le monde ne pensait pas ainsi, mais une seule personne qui a le bras long, suffit pour tuer des centaines de créatures ! Regardant sa montre, il vit qu'il était temps de retourner chez lui, sa maison se trouvait à un bout du zoo, coin tranquille où il était rarement dérangé.
L'heure tournait et bientôt il devrait être à son cabinet vétérinaire, même si d'après ce qu'il se rappelait il n'avait que des rendez-vous dans l'après-midi, il devait voir comment la nuit s'était déroulé pour des patients qui avaient passé la nuit au cabinet. Donc il se dirigea de suite vers sa douche, tout en tapotant la tête de Tokina, tranquillement installer sur le canapé, celle-ci regardait la télé accompagnée de ses précieuses bananes. Beaucoup pouvaient trouver cela étrange qu'il partage son loft et son jardin avec un gorille et un éléphant, mais Tantore et Tokina étaient sa famille, il était donc normal pour lui de vivre avec les siens. Puis, si cela gênait il s'en fichait, ces personnes n'étaient pas les bienvenus ils ne pouvaient l'accepter.
Tout juste habiller de vêtement propre, il venait de saisir son portable, quand il remarqua que Tok ne se trouvait plus sur le canapé, elle avait certainement décidé de faire un tour dans le zoo, oui le gorille était totalement libre de ses mouvements. Mais d'un coup il l'a vu, celle-ci regardait par la fenêtre et pas la bonne, non elle avait ouverte celle qui donnait sur la rue et non le zoo. Peu de personnes passaient par-là, mais Bran n'aimait pas forcément qu'elle se donne en spectacle, car il était sûr que le gorille ne se trouvait pas là pour rien.
Claquant des doigts, il lui fit signe de dégarnir de la fenêtre, ce fut à ce moment-là qu'on frappa à la porte, lançant un regard suspect au singe. Il alla l'ouvrir et tomba sur une blondinette qui avait l'air bien remonté, son visage ne lui disait rien au premier abord, mais il voyait tellement défiler tant de visage entre le zoo et est le cabinet qu'il avait tendance à oublier certaines personnes qu'il avait déjà croisées.
- Bonjour, je peux faire quelque chose pour vous ?
À peine avait-il prononcé ses mots qu'il remarqua la peau de Banane. Tokina avait bien frappée, ou plus, bien visée. Aucun sourire ne ses dessina sur le visage de vétérinaire, non il garda son air impassible.
- Vous auriez voulu le fruit qui va avec la peau ?
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Jeu 15 Aoû - 15:59
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Il n’y avait décidemment rien à faire. Dès qu’il y avait un truc, c’était pour moi. Non mais sérieusement, vous connaissez combien de personnes qui se reçoivent une peau de banane sur la tête en marchant dans la rue ? Il fallait que ça m’arrive à moi alors que je n’avais pas que ça à faire en plus ! Je n’étais pas en avance, on m’attendait sans aucun doute déjà au magasin et si je trainais de trop, j’allais me retrouver avec toute la marchandise devant la porte et aucun homme pour m’aider à tout transporter. Sérieusement, il y avait des jours où on ferait mieux de rester coucher. Sauf que j’avais un métier, moi, contrairement à cet imbécile de véto qui devait sans aucun doute être encore entrain de dormir et qui ne savait pas que ses bêtes étaient entrain de devenir totalement maboule. C’était dans des cages qu’ils auraient dû se trouver et non pas chez lui comme des animaux de compagnie. Il fallait une licence pour ça ! Et je doutais fortement qu’il en ait une.
Ce véto allait entendre parler du pays, ça c’était certain. Avec ce qu’il venait de se passer, il n’allait pas s’en sortir vivant. Après lui avoir fait passer un sale quart d’heure, il pouvait être certain que Big Daddy serait immédiatement au courant ainsi que la presse locale. J’allais le faire couler ! Foi de Blackwood ! S’il ne faisait pas enfermer ce singe, il pouvait être certain que son zoo fermerait et il se retrouverait à la rue, au chômage et juste ses yeux pour pleurer ! Je tambourinais à sa porte assez fort pour qu’il comprenne que je n’étais pas forcément de bonne humeur, ni que je lui faisais une visite de courtoisie. Je voyais rouge, et j’étais sure et certaine que ça devait se voir exactement comme le nez au beau milieu de la figure. Entre deux doigts, je tenais la peau de banane qui avait atterri sur mes magnifiques cheveux blonds que j’avais soigneusement coiffés ce matin (comme chaque matin me direz-vous).
Je m’arrêtais de frapper contre la porte qu’une fois que j’entendis le bruit de la poignée qu’on active. Je laissais retomber ma main le long de mon corps tandis que le propriétaire du zoo ouvrait la porte. Je serrais la mâchoire quand il me demande ce qu’il pouvait faire pour moi. Comment ça qu’est-ce qu’il pouvait faire pour moi ? Il se moquait de qui ?! Je le fusillais du regard mais ne desserrais pas les dents pour autant parce que si je l’ouvrais, il n’allait plus pouvoir en placer une parce que j’étais vraiment très en colère. Si beaucoup connaissait mon hyperactivité, ils ne m’avaient jamais réellement vu en colère. Oh bien sur la façon dont je parlais à nos domestiques n’était rien par rapport à ce que ce Bran Woodsen allait subir. Par contre, j’eus l’impression d’imploser quand il me posa la question sur la peau banane. Si je ne m’étais pas contrôlée un minimum, je lui aurais sauté dessus pour l’étrangler. Et pas qu’un peu !
- Vous osez me demander CA ?! Elle est tombée du ciel comme par magie voyons ! Votre macaque… Il n’a rien à faire-là ! Il devrait être dans une cage comme avec tous les autres ! Ce qu’il vient de se passer va vous couter très cher, M. Woodsen !
S’il ne savait pas encore qui j’étais, il n’allait vraiment pas tarder à le savoir parce que je ne comptais pas du tout laisser passer ça. Il allait m’avoir sur le dos pendant un bon bout de temps. Jamais je ne lâcherai le morceau avant d’avoir obtenu gain de cause. Et s’il ne savait pas encore combien j’étais obstinée, il allait l’apprendre à ses dépends. On ne faisait pas vivre ce genre de chose à une Blackwood sans en payer les frais. J’étais réellement prête à tout pour le faire couler. Je ne laisserai absolument aucun répit à cet homme dont la réputation faisait déjà défaut. Oh certes, il faisait sans aucun doute un travail d’enfer avec les animaux, mais ce n’était pas non plus l’homme le plus sympathique de la ville non plus. Je ne connaissais pas grand-chose sur lui puisque je ne me préoccupais pas vraiment plus que ça de ce qui se racontait sur lui. J’avais tout de même d’autres ragots beaucoup plus intéressants que celui qui concernait le véto de Storybrooke, mais j’étais certaine que si je questionnais autour de moi, j’allais pouvoir trouver des choses qui iraient contre lui.
Parce que je n’allais pas tenir vitam aeternam cette peau de banane dans la main, je la lui refilais sans la moindre politesse. Après tout, je ne lui faisais pas une visite de courtoisie et je n’étais pas là pour être polie, ni pour lui refiler ce qui lui appartenait avec la plus grande des délicatesses. Certes, j’étais une fille de bonne famille, j’avais une excellente éducation, mais ce n’était pas pour autant que j’allais me laisser marcher dessus, ni faire semblant de rien face à ce qu’il venait de se passer. Je m’étais quand même prise une peau de banane en plein sur la tête. Techniquement, c’était interdit de jeter des choses par les fenêtres, même quand il s’agissait d’un animal plein de puces et sans aucun doute dangereux pour l’homme.
- Demandez donc à votre bestiole où elle a mis le fruit, il saura sans aucun doute mieux que moi vous dire ce qu’il en a fait.
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Lun 19 Aoû - 14:22
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Il est le devoir de chacun de protéger les siens, animal ou pas, Tok faisait partie de sa famille et bran n'était pas une personne à venir enquiquiner, car il avait beau savoir maitriser sa colère, quand il s'agissait de personnes qui maltraitaient les animaux ou alors s'estimait supérieur à eux, il ne prenait aucune pincette. Pas qu'il n'avait pas peur de répercussions, mais c'était à quoi servait les avocats, après tout. Le vétérinaire de la ville ne semblait pas riche à première vue et pourtant si, il suffisait de simplement réfléchir, comment une personne sans argent et sans contact aurait pu monter un cabinet vétérinaire et un zoo sans couler. Ce n'était pas à Storybrooke que le tourisme faisait fureur, non les seuls visiteurs restaient les habitants de la ville, rien de bienconcraigant. L'un des plus grands mystères étaient d'où avait-il hérité tous ces richesses, de ses parents morts durant son enfance. Même pour bran, tout cela restait flou et puis il n'était pas du style à chercher dans son passé, non tout ce qu'il comptait c'était ce qui se passait aujourd'hui.
D'ailleurs l'animation du jour était une nouvelle farce de son gorille, lancer une peau de banane par la fenêtre, pas très malin, mais qu'est-ce qu'on faisait à un enfant qui agissait ainsi, une bonne réprimande et le tour sont joués. Pour bran, Tokina ne se différenciait pas d'une enfant, voilà pourquoi cela ne se passerait pas forcément bien avec la jeune fille qui avait frappé à sa porte, peau de banane à la main. Elle paraissait totalement furax...pour une simple peau de banane. Le pauvre allait devoir surement se faire un shampoing, le vrai type de fille qui horripilait le vétérinaire de la ville. Alors, non pour détendre l'atmosphère, il lui demanda si elle voulait le fruit avec la peau. D'accord ce n'était certainement pas la chose à faire avec cette fille de bonne famille, mais les mots avaient été prononcés et aucun retour en arrière possible.
Vous osez me demander CA ?! Elle est tombée du ciel comme par magie voyons ! Votre macaque… Il n’a rien à faire-là ! Il devrait être dans une cage comme avec tous les autres ! Ce qu’il vient de se passer va vous couter très cher, M. Woodsen !
Elle voulait jouer ainsi, d'accord ! Bran la fusilla du regard et sera fermement la poignée de la porte pour résister de lui claquer à la figure. C'est elle qui méritait d'être en cage, pourquoi Tokina serait plus dangereuse que cette pimbêche, au moins son gorille n'allait pas déranger les gens chez eux, c'était elle la personne civilisée et pour le coup, il voulut la féliciter de son lancement de banane. Ce fut à cette pensée que la jeune femme lui donna la peau de banane.
Demandez donc à votre bestiole où elle a mis le fruit, il saura sans aucun doute mieux que moi vous dire ce qu’il en a fait.
Oh oui, il savait très bien ou était passé la banane. Se retournant, il balança la peau dans la poubelle visant totalement juste, il fallait l'avouer Bran était d'une agilité sans failles, parfois même troublante. Reportant son attention sur miss Storybrooke.
- Vous vous croyez où mademoiselle ? Vous êtes sur une propriété privée ici, cette maison fait partie du zoo ! Vous connaissez le mot zoo qui va avec animaux. Faut-il que je demande à Tok d'aller vous chercher un dico ?
Il avait tout à faire le droit d'avoir Tokina chez lui, mais elle croyait avoir affaire à qui ? C'est lui qui co-signait tous les papiers, comme pour Samara et son raton laveur. En même temps, pour lui la jeune fille ne cherchait que les ennuis et alors elle pensait vraiment être dans ses droits, bon il fallait l'avouer, la rue en elle-même n'était pas à lui, mais il fallait prouver la faute et elle venait justement de lui donner la seule qu'il y avait.
- Pourrais-je savoir à qui ai-je affaire ?
C'était clair, il n'appréciait pas du tout la jeune femme, mais il régnait une certaine injustice elle connaissait son identité, mais pas lui. Alors qu'il attendait sa réponse, il sentit la présence de Tokina derrière lui qui jeta devant l'hystérique le dictionnaire dont il avait parlé. Une nouvelle preuve que les animaux étaient loin d'être débile et surtout Tokina qui avait grandi avec lui.
- La politesse serait de la remercier ou est-ce qu'un gorille serait mieux élevé que vous ?
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Mer 28 Aoû - 21:45
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Cet homme n’avait-il donc aucune limite ? Honnêtement, combien de personne avait un gorille en guise d’animal de compagnie ?! PERSONNE ! Sauf cet individu, bien évidemment. Aujourd’hui, les gens ne savaient vraiment plus quoi faire pour se distinguer, ça commençait sérieusement à faire peur ! Bientôt, nous verrons le sherif de la ville se promener avec un crocodile en laisse, quoi de plus normal ! Tout partait à volo dans cette ville ! Non mais sérieusement, un loup qui se balade dans les rues, une espèce d’homme des cavernes avec un gorille dans sa maison, Régina Mills qui refusait toujours de m’accorder un rendez-vous… Bref, plus rien allait et il était grand temps que quelqu’un mette de l’ordre. Si Big Daddy n’obtenait pas quelque chose pour améliorer tout ça, j’allais faire une crise parce que c’était tout simplement honteux que de telles choses se passent. Et le pire dans cette histoire, c’était que le véto ne s’excusait même pas pour l’accident qu’avait provoqué son singe. MAIS OÙ ALLIONS-NOUS DONC !!!!
S’il croyait que j’étais là pour plaisanter avec lui, il pouvait se fourrer le doigt dans l’œil parce que je ne plaisantais pas avec ce genre de chose. Non mais et puis quoi encore ?! Peut-être qu’après j’allais découvrir qu’il avait aussi un éléphant dans son jardin ? Là, ce serait vraiment le summum de la bêtise ! En tout cas, ce Monsieur Woodsen était vraiment un type louche. Trop louche même ! J’allais le faire surveiller, c’était inévitable et si la police refusait de m’aider je savais pertinemment à qui j’allais demander ça. Rien de mieux qu’une jeune femme innocente aux vêtements totalement débraillés et voleuse de Nain de jardin pour ça. Personne ne la soupçonnerait de surveiller ce véto / proprio du zoo. J’étais prête à lui payer chacune de ses entrées dans le par cet à lui prêter mon cher petit Miko pour ça. Bref, plus déterminée que moi, ça n’existait pas. Et puis de toute façon, Maddhen me devait bien ça étant donné les Nains de jardin qu’elle m’avait volé dans mon jardin… C’était ça ou je la dénonçais directement.
La tentative d’humour de Bran était totalement mal placée. On ne plaisantait pas face à un acte aussi grave, qui aurait très bien pu être pire si son gorille avait voulu me jeter un pot de fleur. J’en serais morte ! QUELLE HORREUR !!!! Remarquez, j’aurais eu des obsèques et un enterrement dont tout le monde se serait souvenu, mais j’étais bien trop jeune et bien trop jolie pour mourir maintenant ! Je n’avais que vingt ans, et encore tellement de choses à accomplir : comme devenir maître de la ville par exemple ou me marier avec un riche héritier… Bref, j’avais tellement de projet de vie qu’il était tout simplement hors de question que j’y laisse ma peau aussi facilement. Je restais totalement de marbre quand il m’annonça que j’étais sur une propriété privée. Ah parce qu’il pensait sincèrement que j’allais m’excuser ? Jusqu’à preuve du contraire j’étais sur le seuil de la porte, donc j’étais toujours dans mes droits. Ce n’était pas comme si j’étais rentrée chez lui et puis avec cette bête géante et poilue, il n’y avait aucun risque que j’y mette les pieds. Ca devait être plein de parasites !
- Au cas où vous l’auriez oublié, absolument rien ne vous appartient ici. Toute la ville appartient à M. Gold, jusqu’à votre brosse à dents donc je serais vous, je me méfierai de mes propres paroles si je veux garder mes animaux.
J’étais prête à aller très loin s’il le fallait. Nous avions plus que l’argent nécessaire pour exiger la fermeture du zoo. Mais ça, il ne le savait pas puisqu’il devait vivre comme une espèce de Robinson Crusoé ou je ne sais quoi. Enfin sa vie m’importait vraiment peu ! Il pouvait vivre comme bon me semblait, mais à la base j’étais uniquement venue pour avoir des excuses et aussi comprendre pourquoi est-ce qu’il avait un singe dans sa maison au lieu de dans une cage avec les autres. Mais non, il avait fallu qu’il ait sa manière horripilante de venir faire de l’humour alors que CE N’ETAIT PAS LE MOMENT !!! On ne fait pas de l’humour sur ça et encore moins quand on avait un Blackwood juste face à soi. C’était une règle d’or, mais ce sauvage ne devait pas la connaître, si seulement il avait montré sa tête un peu plus souvent, peut-être que là, en effet, il l’aurait su. Mais que voulez-vous, tout le monde n’était pas parfait ! J’étais même surprise qu’il me demande qui j’étais. Non mais… SERIEUX ?!
- Jeliza Rose Blackwood, quelle question !
J’eus à peine le temps de terminée de me présenter qu’une masse poilue et sans aucun doute couverte de puces et de tiques arriva pour jeter un livre à mes pieds. Si je n’avais pas eu la présence d’esprit de m’écarter légèrement, je me le serais reçu dessus. C’était de pire en pire. Je baissais les yeux pour voir qu’il s’agissait d’un dictionnaire. A nouveau, j’eus le droit à une remarque désobligeante de la part de ce reclus aux manières moyenâgeuse ! Mes mains formèrent deux points tandis que mes bras se raidirent, signe que la mayonnaise était sérieusement entrain de monter.
- ALORS LÀ TROP C’EST TROP !!! DEUX FOIS QUE JE ME FAIS AGRESSER PAR VOTRE GORILLE, IL EST SÉRIEUSEMENT TEMPS QUE QUELQU’UN REMETTE DE L’ORDRE ICI !
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Sam 31 Aoû - 18:30
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
On dit souvent qu'il n'y a aucun honneur à ne pas se montrer courtois avec une femme, sauf que tout dépendait de la femme en question. Une personne comme Jeliza ne devait pas recevoir des fleurs tous les jours avec son tempérament de gamine pourri gâter. Il suffisait que d'un regard, pour la cerné, une bonne fifille à Papa. Jamais, elle n'avait dû vivre de réel moment grave pour s'alarmer avec une simple peau de banane, s'il le pouvait Bran lui aurait déjà claqué la porte au nez, sauf que celle-ci semblait tenace et ne laisserait sans doute pas partir au boulot, sans d'avoir fini son esclandre. Il allait devoir se montrer patient, mais même la patiente à des limites et surtout pour le vétérinaire de ville. Déjà qu'il n'aimait pas forcément les humains, ce n'était pas le comportement de la blondinette qui allait changer la donne.
Elle osait en plus le menacer, comme-ci elle avait le pouvoir de faire fermer son zoo alors que c'était une propriété privée qui n'avait rien à se reprocher, jamais aucune plainte n'avait apparu contre lui et si s'était son habitude de crier quand on la contrariait, il était certain qu'elle avait déjà menacé d'autres personnes, la vraie image des chieuses qui se pensent le centre du monde.
Alors que Bran lui demanda où elle se croyait pour se permettre de lui ordonner d'enfermer Tokina sur une cage, celle-ci eu une réponse plus qu'étrange. Pour elle, tout appartenait à Mr Gold, il est vrai que beaucoup pensait comme elle, mais on dit souvent qu'il faut tourner sept fois la langue dans sa bouche et c'était un conseil qu'elle devrait s'évertuer de suivre, car ici, rien n'appartenait au plus grand propriétaire de la ville même sa brosse à dents. Croyait-elle vraiment qu'il possédait aussi ses petites culottes en dentelles ? Cette fille était en plus légèrement naïve sur les bords, pour se retenir de dire stupide. Une de ses meilleures amies, croyait en tout ce qu'on lui disait, donc cela ne l'avait jamais gêné, mais venant de la blondinette cela la rendrait encore plus horripilante. Pour finir, il lui demanda son nom pour savoir à qui il avait à faire.
Jeliza Rose Blackwood, quelle question !
Quelle question ! N'était-ce pas évident, qu'il se devait de la connaître, sa réflexion lui fit souffler un gros coup, aucune discussion ne sera jamais possible avec cette Jeliza, dont il n'avait jamais entendu parler, même son nom de famille ne lui disait rien. Ce fut à ce moment-là que Tokina emmena le dictionnaire. Bran n'avait pas dit cela sérieusement, mais il était ravi qu'elle les fasse. Preuve de son intelligence, la réaction de la jeune femme atteignait le summum, serrant ses mains qui formaient des poings, les bras raides, il reconnaissait les signes de la colère pour souvent les vivres lui-même.
ALORS LÀ TROP C’EST TROP !!! DEUX FOIS QUE JE ME FAIS AGRESSER PAR VOTRE GORILLE, IL EST SÉRIEUSEMENT TEMPS QUE QUELQU’UN REMETTE DE L’ORDRE ICI !
Elle hurlait, Tokina pour réaction attrapa le dictionnaire, n'aimant pas du tout ce haussement de voix. Sans était trop, Bran passa le pas de la porte pour la fermer derrière lui. Il était hors de question que Jeliza s'attaque au siens. Sa voix devint lui-même plus ferme, ses yeux plus sombres, s'il n'avait pas refermé la porte, il était certain qu'elle se serait ramassée le dictionnaire en pleine tête.
- De l'ordre et vous allez faire ça comment, appelez votre ami Gold ?
Il voulait bien voir ça, surtout son visage quand elle comprendrait que Gold ne pouvait en rien intervenir sur son zoo, qu'elle s'occupe des affaires des autres. Bran n'aimait pas se mettre en colère, mais elle l'avait bien cherché...
- SI vous continuez c'est moi qui appelle le shérif, donner un dico n'est pas une agression, là c'est vous qui m'agressez verbalement.
Il n'hurlait pas comme elle, il fallait l'avouer, ils n'avaient pas la même façon de craquer, si elle aurait été homme, c'était un point dans la figure qu'elle aurait reçue. Mais là, il préférait la voir partir, quel s'en aille avec ses délires de grandes dames de Storybrooke. Puis, il estimait avoir autre chose à faire, il finit par ajouter :
- Passez voir le cadastre de la ville en même temps et foutez-moi la paix, à moi et mes animaux !
Sujet: Re: La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane [PV Bran] Dim 15 Sep - 23:18
« La jeune fille bien élevée est le seul animal qui rougit en voyant une banane »
Décidemment, j’aurais vraiment mieux fait d’aller à la boutique en voiture puisqu’aujourd’hui, on ne pouvait plus tranquillement se promener sans se recevoir un projectile dans la tête ou autre. D’ailleurs, si ce véto faisait correctement son boulot et laissait ses animaux à l’intérieur du zoo cela ne serait jamais arrivé, je ne serais actuellement pas là, à sa porte et JE NE SERAIS PAS EN RETARD A LA BOUTIQUE ! Qui est-ce qui allait devoir se débrouiller pour rentrer la livraison dans l’arrière boutique ? MOI ! ENCORE ET TOUJOURS MOI ! Il n’y avait déjà pas moyen d’engager des gens de confiance dans cette ville alors si en plus de ça, tout le monde me faisait perdre mon temps… Jamais on n’allait s’en sortir ! Et puis cet imbécile qui défendait son macaque plutôt qu’une noble habitante… C’était le monde à l’envers ! Non mais vraiment, j’aurais tout vu !
Je comptais sérieusement mettre tout en œuvre pour faire fermer ce zoo ou au moins qu’il subisse l’inspection réglementaire. Les inspecteurs allaient bien voir que ce zoo n’était pas conforme au règlement. Qui gardait un gorille dans sa maison ? Ce n’était pas un animal de compagnie et ça, il semblerait que Woodsen n’était pas au courant. Sauf qu’à ça s’ajoutait le fait que cet animal était un danger pour la vie d’autrui. Certes, je m’étais prise une peau de banane, rien de grave en soit, mais imaginons deux secondes qu’il se soit s’agit d’un pot de fleur ?! D’une brique ? Un PARPAING !!! Je serais morte à l’heure qu’il est ! Non, ce n’était pas une blague et non je n’exagérais pas ! D’aussi haut, un objet multiplie son poids donc par conséquent, déjà qu’un parpaing, ça pèse très lourd, imaginez le poids qu’il devrait faire en arrivant en bas ! C’était comme se recevoir un avion à réaction en plein sur la tête ! MAIS OÙ ALLIONS-NOUS ?!
Bref, je me faisais énormément plaisir à lui rappeler que cette ville appartenait à M. Gold, qu’il soit content ou pas et que par conséquent, je ferais absolument tout pour mettre des bâtons dans les roues de cet homme mal poli et sans cœur ! Depuis quand est-ce qu’on ne présentait pas ses excuses face à une situation aussi grave ? Etions-nous retournés au Moyen-âge ? Etions-nous réellement passés de l’âge de bière à l’âge de pierre ? Comme ça, en un claquement de doigts ? Il était réellement temps que quelqu’un prenne les choses en main une bonne fois pour toute et si Madame le Maire refusait de bouger son popotin qui lui sert pour s’asseoir, j’allais me faire réellement un énorme plaisir pour faire en sorte qu’elle se bouge, quitte à la détrôner de son royal fauteuil dans lequel elle devait passer ses journées assise à se limer les ongles. Ce n’était pas ainsi qu’on faisait régner l’ordre. Big Daddy avait toujours dit que j’étais née pour régner, et il était temps de mettre en action ses propres paroles.
Ce qui me surprenait réellement, c’était qu’il me demande qui j’étais. Non mais à croire qu’il ne sortait jamais de chez lui ce type ! C’étai bien la première fois qu’on me demandait qui j’étais, du coup, ça devait se voir et se sentir sur ma façon de répondre. Et puis… On ne demandait pas son prénom à une dame ! On attendait qu’elle se présente ! Enfin bon, de toute façon, cet homme devait sortir tout droit de sa caverne et avait sans aucun doute oublié d’évoluer dans sa grosse tête vide ! A l’asile qu’il devait aller ce type-là ! Sans passer par la case départ ! Bref, ce qui m’insupportait le plus et qui me faisait péter un plomb, c’était que cette bestiole pleine de poils et de puces vienne me balancer un dictionnaire aux pieds. Là, c’était trop ! Il était réellement tant de faire quelque chose. Folle de rage, je regardais Bran Woodsen sortir de chez lui et refermer la porte derrière lui. S’il croyait m’intimider, c’était raté pour lui. Je n’avais pas peur de lui, si c’était ce qu’il cherchait à faire. Aussi, je continuais de garder la tête aussi haute et digne que possible. J’étais une Blackwood, moi !
- Je n’ai nul besoin de me cacher derrière quelqu’un, si vous voulez tout savoir, répondis-je d’une voix tout aussi menaçante que celle qu’il venait d’employer avec moi.
Le plus gros fut quand il utilisa le mot « donner ». Non mais SERIEUSEMENT ?! IL ETAIT SERIEUX ?! Apparemment, lui et moi n’avions pas du tout la même définition du mot « donner ». Puisqu’il avait un dictionnaire, il était peut-être temps pour lui de regarder dedans pour connaître cette définition. Ce qui lui permettrait peut-être de commencer à remplir sa tête vide. Parce qu’il en avait sérieusement besoin. De toute façon, c’était sa parole contre la mienne alors me menacer d’appeler le shérif, ça me passait par-dessus la tête. Et puis, ce n’était pas comme si je n’avais pas les moyens de gagner un maudit procès. Des preuves, il y en avait des tas et aucune qu’il ne pouvait nier.
- Donner ? DONNER ?! Vous appelez ça « donner » vous ? Moi j’appelle ça balancé à la figure de quelqu’un ! Et si vous croyez me faire peur en évoquant Emma Swan, vous vous trompez lourdement ! Vous ne me connaissez pas encore, mais vous allez apprendre à me connaître M. Woodsen, et croyez-moi, ce ne sera pas dans le bon sens !
Je remis mon sac à main correctement sur mon épaule. Môssieur n’avait toujours pas terminé de faire son intéressant. S’il aimait tant que ça ses animaux, il n’avait qu’à aller vivre dans la forêt comme un ermite en compagnie de ce loup qui avait été mainte fois aperçu dans les rues de Storybrooke. J’étais sure et certaine qu’il ferait un magnifique couple à eux deux ! Après tout, on autorisait de plus en plus de mariage bizarroïde dans ce pays alors pourquoi pas celui d’un homme (enfin en apparence !) avec un loup ne pourrait pas se faire ? Bref, très de plaisanterie. J’avais assez perdu de temps avec cet homme des cavernes et de toute façon, cette histoire était loin d’être terminée. Il allait avoir de mes nouvelles et plus rapidement que prévu.
- Allez donc vivre dans la savane, vous y seriez peut-être plus à votre place que dans une ville.
Sur ces bonnes paroles, j’effectuais un magnifique demi-tour et quittais les lieux. Ca ne servait absolument à rien de continuer à parlementer avec un homme aussi borné et aussi vide d’esprit que lui ! J’avais une vie, MOI ! Je ne passais pas mon temps à héberger un gorille assassin !